Que peut-on craindre du rachat de BEA par Oracle ?

Publié le par Stéphane Jeanneteau

undefinedSi le rachat prend tout son sens par la complémentarité des offres des deux éditeurs, il est à craindre que ses effets 'secondaires' pèsent lourdement, surtout sur les clients de BEA.

 
 
 

Après l'annonce du rachat de BEA par Oracle, pour 8,5 milliards de dollars, les inquiétudes commencent à poindre chez les clients des deux éditeurs. Plutôt chez les clients de BEA, d'ailleurs !

 
 
 

Certes, l'acquisition prend toute sa logique à l'étude des complémentarités au sein de leurs offres et de la cohérence stratégique d'Oracle dans la composition et l'élargissement de son portefeuille. En particulier le serveur d'application WebLogic de BEA va rapidement trouver sa place aux côtés des bases de données d'Oracle. Mais pour le reste ?

 
 
 

L'inquiétude des clients de BEA porte sur trois points essentiels. Tout d'abord sur le choc des cultures, très ouvert et collaboratif chez leur fournisseur, autrement plus opaque et certainement moins documenté chez le géant des bases de données.


Source :  CIO Online

 

Publié dans L'actualité IT

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article